Le lapin blanc d'Alice s'habille en Jacobs (la boutique en face).
Flottant derrière leurs vitrines obscures, les fantômes de la tentation.
On aimerait les rejoindre de l'autre côté du miroir, direction Dolce Vita à cheval sur une Vespa fonçant sur le pavé romain.
Et puis on passe son chemin, parce qu'à New-York on ne s'arrête jamais très longtemps, et qu'un peu plus loin on imagine déjà d'autres miroirs à traverser.
Pour les yeux, la bouche, les oreilles.
Pour tout ce qui sent et tout ce qui pense.
Collections de souvenirs beaux, bizarres ou bons.
du bon à se mettre sous les yeux
mardi 23 juin 2009
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